Réaliser un diagnostic ergonomique et proposer un plan d’action pertinent

Évaluer l’environnement existant pour améliorer la qualité de vie au travail

Conscients que l’environnement de travail (équipements, aménagement) pouvait être amélioré, DIJON CÉRÉALES souhaite réaliser un état des lieux permettant d’identifier les leviers d’action qui guideront leur stratégie QVT et leurs investissements.

L’entreprise a fait appel à ATOME QVT pour réaliser un diagnostic ergonomique autour de 3 axes principaux :

• Évaluer la qualité du matériel existant et proposer des améliorations ;
• Identifier les postes prioritaires pour des investissements ergonomiques :
• Réaliser des préconisations pertinentes pour améliorer l’aménagement des espaces, des équipements et des processus de travail.

Quels sont les risques existants ? Comment optimiser les locaux et les postes de travail ? Quelles actions mener en priorité ? Nous avons aidé DIJON CÉRÉALES à répondre à ces questions pour les guider dans leurs décisions.

Réaliser un diagnostic ergonomique

1. Identifier les problématiques et les besoins des salariés

En amont des deux jours de diagnostic ergonomique sur le terrain, nous évaluons les besoins des collaborateurs grâce à un questionnaire anonyme permettant d’identifier les problématiques et les points de vigilance.

Dans ce questionnaire, les salariés ont déclaré des maux de tête et picotements aux yeux, des douleurs cervicales, aux épaules et aux poignets, des signes d’anxiété et une fatigue excessive en fin de journée. Ils évoquent les manques concernant le matériel adapté permettant une bonne réalisation de leur travail.

2. Diagnostic ergonomie sur le terrain

Durant deux jours, nous échangeons avec les équipes et nous analysons :

• Les processus et la nature des tâches (répétitives, contraignantes) : passage individuel et évaluation des différentes typologies de postes
• La lumière et l’éclairage : intensité, direction, reflets des écrans, ombres gênantes, etc.
• Les niveaux sonores et le positionnement des équipements générateurs de bruit (imprimante, etc.)
• Le matériel adapté au travail : chaise, bureau, lampe, écran, clavier, souris, repose-pied, etc.
• Le câblage des équipements : position et rangement des câbles et branchements électriques
• L’espace de travail qui doit être suffisant et adapté au travail réalisé
• La température de la pièce, l’humidité de l’air, etc.
• La présence de points d’eau
• Le réglage des ferme-porte
• La végétalisation et l’atmosphère générale de l’environnement de travail

 

3. Rapport de préconisations

L’audit aura permis d’identifier les leviers d’amélioration concernant l’aménagement de l’environnement et l’optimisation des processus de travail.

Le rapport du diagnostic ergonomique transmis aux préventeurs et à la direction comprend :

• La synthèse et l’analyse des questionnaires relatifs aux problématiques et aux besoins des collaborateurs ;
• Le matériel et les équipements préconisés pour chaque situation identifiée ;
• L’aménagement des postes et des espaces de travail en fonction des contraintes environnementales et individuelles ;
• Les besoins en formation pour développer les compétences des collaborateurs ;
• La sécurité des pratiques et des processus de travail, notamment lors des tâches quotidiennes et des déplacements.

 

4. Échange avec la direction

Suite à la réalisation du rapport de diagnostic, nous avons prévu un rendez-vous avec la direction pour mettre au point un plan d’action pertinent. Cet échange a permis de prioriser les initiatives et de définir les modalités de mise en œuvre des solutions retenues compte tenu des contraintes (organisation, budgets, délais).

La direction a pris conscience du niveau de stress auquel sont soumis les collaborateurs et des douleurs chroniques présentent chez 2/3 des salariés. Le diagnostic leur a permis d’identifier des problématiques dont ils ne soupçonnaient pas l’existence et d’orienter leur politique QVT en conséquence.

À l’aide des 31 propositions de matériels classés par ordre de priorité, DIJON CÉRÉALES a pu mettre en place une stratégie d’investissements à long terme afin d’améliorer la qualité de vie des équipes. Certains postes ont été réaménagés (orientation, positionnement) et des processus repensés pour améliorer l’organisation des tâches.

Les retours de l’entreprise sont très positifs et la direction a souligné l’exhaustivité du rapport (propositions concrètes et actionnables, propositions de produits…). Les collaborateurs ont apprécié l’approche participative et la prise en compte de leur avis dans la démarche QVT de l’entreprise. Une action qui a permis d’amorcer une vraie dynamique autour du bien-être et des conditions de travail.